Meme si les transport en commun sont indispensable a la vie de milliers d usagers, il faut avouer que leur gestion demontre une incompetence et une malhoneteté flagrante. Autour de moi j entends de plus en plus d histoire de contravention donner par des pourritures de contrôleurs pour des motifs de plus en plus WTF.
J avais eu dans le passé un controle un 1er mai a 6h du matin en bout de ligne RER alors que toutes les gares etaient fermées. Le contrôleur mouillait de plaisir a l idée de me dresser une amende quand je lui demandais comment il etait possible d acheter un titre de transport alors que tout etait fermér. A l epoque il n y avait pas autant de machine automatique dans les gares reculées mais heureusement j avais mon pass en regle. Le contrôleur etait visiblement tres deçu car il avait deja sorti son calepin et rediger l amende. On peut se douter que l heure et le jour du contrôle etait pretexte a des verbalisations faciles.
Une histoire ancienne mais qui tends a se repeter. Mis en valeur recement par l affaire du transport de plante dans le metro, les derives des contrôleurs commencent a faire surface au grand jour. Le Parisien nous explique dans son article que les contrôleurs sont rémunérer sur un pourcentage des amendes qu ils ont redigées. Si on ajoute a cela un recrutement dans la lie de la societé ou l echec scolaire côtoie l appât du gain, on comprends que le profil du personnel ne tape pas dans l humanisme et la philanthropie.
Il est navrant que des entreprises de service public aient recours a ce genre de pratique d autant plus que la qualité et les conditions de transport ne cessent de se dégrader.
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